Vacances de Elìa

Lorsqu'Elìa descendit du train elle put remarqué que personne n'était venu la chercher. C'est alors qu'elle reconnu Emy, l'aigle de M.Standley, qui lui apportait une lettre.

Chère Elìa,
je suis en Italie. J'éspère que ton année s'est déroulé convenablement. Je ne sais pas si nous aurons l'occasion de nous voire ces vacances. Je t'ai reservé une chambre au Chaudron Baveur pour les deux mois à venir. J'ai déjà tout payé mais je t'enverrai de l'argent chaque semaine. Nous nous reverrons aux vacances de Noël.
Georges Standley

Elìa n'en revenait pas! Durant l'année elle s'était dit que peut-être M. Standley éprouait un quelquonque sentiment pour elle mais il s'avérait qu'il n'en avait vraiment rien à faire. Elle n'avait donc pas droit à plus d'explication! Les lettres de Standley était habituellement beaucoup plus longue et beaucoup plus riche! Mais pourquoi diable l'avait-il recueilli?
Exaspérée, elle du trouver un moyen d'aller jusqu'au Chaudron Baveur où elle s'installa à son aise...

(à suivre)

Une semaine s'était déjà écoulé depuis le début des vacances et sa rancoeur passée, Elìa trouva que enfin de compte, deux mois seule c'était tout de même le rêve! Jusque là elle avait passé ses journées au Chemin de Traverse mais ce jours là elle déscida d'aller visiter la seule rue qui avait vraiment l'air intérressante... L'Allée des Embrumes. Georges Standley y allait parfois mais Elìa n'avait jamais eu ce droit.
Habillé en noir avec une capuche pour pouvoir se cacher un peu, elle traversa donc tout le chemin de Traverse et arriva à l'entrée d'une rue sombre où régnait une étrange odeur.
Elle marcha dans cette rue et vit vite qu'elle était remplit de Magie Noire. C'était étrange d'ailleurs que ces magasins restent ouverts.
Le regard de Elìa s'arrêta sur une toute petite librairie.
*Il y aura certainement des choses très intéressante là dedans...*
Elle entra tout doucement et enleva sa capuche. Ici elle ne connaitrait personne

"Bonjour fillette" dit un vandeur. Il était vieux, bossu avec des yeux bleu anormalement clair.
- Bonjour, répondit Elìa en regardant le viel homme.

Soudain le regard du viel homme se figea et un grand sourir apparut sur ses lèvres:

"Vous êtes le portrait de votre mère, Miss Sua" dit le vendeur en souriant.

Elìa n'en revanit pas. Elle n'avait encore jamais rencontré de gens qui connaissaient ses parents et le jour où elle va dans l'allée la plus sombre qu'elle n'ait jamais vue elle tombe sur... lui.

"Avez-vous les mêmes gouts que vos parents? demanda-t-il
- A vrai dire, répondit séchement Elìa, je n'en ai aucune idée.

Le vendeur n'eut pas l'air de comprendre l'allusion à la mort de ses parents car il continua:

- Oh vous avez du caractère, comme votre père. Je vais vous donner le dernier livre que votre mère a prit chez moi...

Il s'éloigna vers l'arrière boutique et toutes les étagères se transformèrent. Les livres furent remplacées par d'autres livres, tous assez effrayant. Le viel homme chercha dans les étagères et revint avec un énorme grimoire de couverture noir entre les mains.

- Voilà! dit-il. Votre mère adorait lire et elle a toujours eu beaucoup de gout!

Elìa paya le livre et sortit du magasin. Elle ne savait pas si c'était l'odeur ou cette rencontre mais elle avait envie de vomir.

(A suivre)

Elle en avait assez vue pour l'Allée des Embrumes! Elle couru vers le Chemin de Traverse. Elle ne se sentait vraiment pas bien. C'était la première fois que quelqu'un lui parlait de ses parents. Tout ce que Standley lui avait dit c'était qu'ils étaient Mangemorts... Et voilà qu'un viel homme répugnant lui parlait d'eux avec un immense sourire. Pour Standley les Sua étaient des monstres, pour le vendeur ils avaient l'air de Saints.
Elle se laissa glisser comtre le mur d'un magasin et se mit à pleurer. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle pleurait. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas pleurer! Elle avait mal, terriblement mal! Elle laissa le livre tomber sur le sol et resta là quelques heures à pleurer, la tête dans ses genoux.

(A suivre)

"Oh? Salut... Ca va?"

Elìa leva la tête. Il faisait nuit! Elle n'en revenait pas! Elle s'était endormi en pleins milieu de la rue!
Une fille de son âge, rousse, avec des magnifiques yeux vert s'était accroupi devant elle et lui secouait légerement l'épaul.

"Ca va? demanda la fille.
- Euh... Oui... Je croix... C'est juste que j'étais fatigué, je me suis... endormi."

La fille éclata de rire.

"Qu'est-ce qui te fais rire? demanda Elìa froidement.
- Excuse-moi, répondit la fille entre deux éclats de rire, mais quand même, tu fesais peur à voir pas terre, comme ça. Savoir que tu étais en fait juste... endormi!

Elle l'aida à se relever et se présenta:

"Emilie Dumas, dit-elle. Je viens de France, de Bordaux. Je suis en vacance ici.
- Moi c'est Elìa Sua. Merci beaucoup de m'avoir reveiller. Je me demande pourquoi personne ne l'avait fait avant toi... Quel heur est-il?
- Il est 2h, répondit la dénomée Emilie avec un sourire.
- 2h!!! s'écria Elìa. Mais toi? Qu'est-ce que tu fais là?
- Eh bien rien... Je viens d'arriver et je suis sorti faire un tours. Où habites-tu?
- En fait je n'habite pas ici. C'est juste que en ce moment je loge au Chaudron Baveur.
- Oh! Moi aussi je suis au Chaudron Baveur! Dailleurs on ferait mieux de rentrer. N'oubli pas ton livre!
- Mon... Ah oui! "

Elìa sauta litéralement sur son livre. Elìa espera que la francaise ne l'avait pas vu. En tout cas si elle l'avait lu, elle ne laissa rien paraitre.
Elles allèrent tous les deux à l'auberge et Elìa alla desuite dormir.

"Salut! dit-elle joyeusement. Bien dormi?
- Oui, oui, très bien et toi?
- Bien aussi."

Pendant un instant personne ne parla pui Emilie reprit la parole plus doucement:

"Tu as prévues quelque chose pour cette après-midi?"

Elìa réfléchit. Elle comprit qu'elle aurait bientôt droit à une invitation. Elle observa Emilie qui souriait.

"Non, répondit-elle. Rien de prévue.
- Mes parents veulent aller visiter la ville Moldue. Rien de très interressant en somme. Moi j'ai pensé à une occupation un peu plus amusante... Ca te tenterais?

Elle fronça les sourcils. Que pouvait bien être une occupation amusante pour une française?

- Que veux-tu dire par là?
- Eh bien rien de très particulier, répondit Emilie. Tu verras par toi même. Ma mère m'appelle. A tout à l'heure!"

Emilie se leva et quitta la table laissant Elèa perplexe.